Le Barbier de service

Publié le par La Vipère



Tiens : la rubrique littéraire de l'Express accueille un nouveau chroniqueur.

Christophe Barbier, il s'appelle ; il prend la plume pour dire le bien qu'il pense de la réédition d'un roman d'une certaine Yasmina Reza, Hommes qui ne savent pas être aimés. Un livre"attirant comme un miroir", où "la plus profonde humanité, bouleversant filigrane, apparaît derrière le néant", une auteur "à nulle autre pareille", etc.

Barbier, Barbier... Ce nom me dit quelque chose, mais quoi ?

Et Reza, Reza... Pas la fanatique minimaliste du Président, des fois ? Si ?

Ah si. C'est bien elle.

Comment ? Un rapport ? Quel rapport ?

                                                                   
N.B. Dans le même journal, François Busnel commente cette phrase tirée du roman de la pénible Simonetta Greggio, Les mains nues :

Il faut que j'explique à cette fille que quand on tient un amour on le garde, on le défend contre lui-même et contre les autres.

Commentaire, donc : "Il y a des phrases, comme celle-là, qui vous réconcilient avec la vie. Ça sert à ça, la littérature".

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